Les artistes que La Roche a inspirés |
Voici, d'abord, quelques dessins d'artistes qui ont pour sujet l'ossuaire et l'église saint Yves de La Roche-Maurice. Ces oeuvres proviennent des collections du Musée de Bretagne accessibles en ligne sur Internet.
Et puis, quelques oeuvres d'art présentes en ces lieux... Pour accompagner votre visite, écoutez le "Cantique de Saint-Yves", avec les paroles éventuellement .
Nann, n'eus ket e Breizh, nann, n'eus ket unan, Nann, n'eus ket ur sant evel sant Erwan. (2 w.)
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Ret eo gouzout e vez roet d'ar sant-mañ kalz anvioù disheñvel, hervez ar c'hornbroioù : Erwan, Ewan, Ewen, Iwen, Iwan, Youenn, Ivoñ, Yon, Eozen, Euzen, Cheun. Holl e teuont, moarvat, diwar ar stumm kozh : Ezwaen.
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les photos pour les agrandir Le clocher porte une date : 1589. "C’est ici, à La Roche, qu’a été inventé le clocher dit « léonard » : une flèche élancée reposant sur une chambre de cloches à deux étages et deux galeries. La Roche-Maurice invente la version gothique (une flèche) exactement au moment où Berven conçoit la version Renaissance (un dôme). L’une et l’autre se partageront les faveurs d’un grand nombre d’églises de la région durant trois siècles". (source CIAP). Les quatre pinacles et le haut de la flèche sont de style gothique. Les chambres de cloches comme le portail ont un décor renaissance. Le portail est surmonté d'un fronton et encadré de colonnes à chapiteaux ioniques (voir photo de droite). Au-dessus, une niche abrite une statue de saint Yves, le saint patron de la trève. Dans les contreforts, on observe deux autres statues. Saint Pascal Baylon, à gauche, vêtu d'une bure franciscaine, tient un ciboire. L'autre statue, à droite, en habit dominicain est saint Vincent Ferrier. |
Comment on le voit sur deux dessins, le cimetière s'étendait en 1895 jusqu'aux abords immédiats de l'église.
A cette époque, en 1895, le cimetière était bien plus près de l'église. Il y avait quelques tombes aussi près du clocher devant l'ossuaire, comme le montre un autre dessin. L'entretien n'était pas efficacement assuré. On ne connaissait ni les produits phytosanitaires, ni les journées citoyennes de nettoyage. Et, bien sûr, le monument aux morts n'existait pas.
La décision de suppprimer les tombes trop proches de l'église a été prise par délibération du conseil municipal, le 3/6/1900 : "Enlèvement des tombes aux abords de l'église - M. le Président [M. Le Roux, adjoint] expose aussi au conseil qu'il y aurait lieu pour éviter l'humidité des murs de l'église et pour embellir ses abords, de faire enlever les vieilles tombes qui entourent cet édifice religieux. Depuis plus de trente ans, il n'y a pas eu d'inhumations aux endroits précités et il n'y a aucun inconvénient à procéder à l'enlèvement des dites tombes. Le conseil, après avoir délibéré, adopte l'avis de M. le Président et décide que les tombes qui bordent actuellement les murs de l'église seront enlevées par les soins des intéressés, dans un laps de temps d'une année, après qu'on aura donné au public connaissance de la présente décision."
Séance du 23/5/1901 : "Surveillance des travaux du cimetière : M. le Président demande ensuite à l'assemblée de vouloir bien désigner une commission chargée de surveiller les travaux d'enlèvement des tombes aux alentours de l'église et à l'aplanissement du terrain. Le Conseil désigne à cet effet MM. Miossec et Elleouet qui acceptent."
EGLISE DE LA ROCHE
(Texte accompagnant ce dessin et les autres)
En suivant le cours sinueux de la rivière d'Elorn, en Bretagne, on aperçoit, dominant la vallée, entre Landivisiau et Landerneau, les restes de l'ancien château de La Roche-Maurice, construction remontant au Xè siècle, complètement détruite au XVè, sous le règne de Charles VIII. Un peu en arrière de cette imposante ruine on distingue, parmi les arbres, la belle flèche en pierre et à jour de la petite église de La Roche ; la façade de cet édifice, avec son clocher et sa flèche, peut être considérée comme un des ouvrages les mieux réussis de la renaissance en Bretagne. L'église proprement dite, composée de trois nefs, date de la fin du XVè siècle ; la façade et le clocher ne furent construits qu'en 1559.
L'extrême dureté de la pierre employée n'a pas toujours permis aux artistes bretons de donner aux détails de la décoration extérieure de leurs édifices toute la finesse d'exécution qui distingue les monuments de la Renaissance dans les contrées voisines, mais ils ont, la plupart du temps, découpé si adroitement les silhouettes de leurs clochetons et donné à leurs façades des proportions si agréables que la Bretagne est devenue un des plus intéressants pays du monde au point de vue architectural. Cette finesse qu'ils ne pouvaient obtenir sur le granit, les constructeurs la cherchèrent dans leur sculptures sur bois ; le remarquable jubé de l'église de La Roche en est un magnifique exemple. Destiné à séparer le choeur de la grande nef, il est appuyé sur deux fortes piles ; sa partie supérieure est desservie par un escalier tournant, également en bois, orné d'une riche balustrade. Un beau porche ogival décore la façade latérale sud ; le meneau qui sépare les deux portes de ce porche est muni d'un bénitier extérieur, ajouté sans doute au XVIIè siècle.
Cette charmante église est un peu masquée par un vaste ossuaire en pierre construit au milieu du XVIIè. Malgré sa fâcheuse situation, ce funèbre édifice ne manque pas d'intérêt ; sa façade, composée d'une série d'arcades soutenues par des colonnes corinthiennes, repose sur un soubassement orné d'une curieuse danse macabre.
Oeuvres d'Yvonne Jean-Haffen
Yvonne Jean-Haffen, née à Paris en octobre 1895 et décédée à Dinan en novembre 1993, était une artiste bretonne polyvalente : elle fut à la fois peintre, dessinatrice, graveur et céramiste.
Très jeune Yvonne Haffen est attirée par le dessin, encouragée par sa famille, puis par son mari Edouard Jean à suivre des cours. Sa rencontre avec Mathurin Méheut est déterminante pour sa carrière, et pour sa vie personnelle. Un lien très fort va les unir désormais, ils tiendront secret leur lien personnel, mais travailleront énormément ensemble.
Grâce à lui, Yvonne Jean-Haffen découvre la Bretagne en 1926, elle y fait de multiples séjours, puis achète en 1937 la très belle maison de la Grande Vigne sur le port de Dinan. C'est cette maison, léguée à la ville de Dinan, qui abrite maintenant l'essentiel des collections de l'artiste.
Yvonne Jean-Haffen, comme Mathurin Méheut, a énormément travaillé, en Bretagne bien sûr, mais aussi à Paris et à l'étranger. Elle excelle dans tous les domaines qui touchent la peinture et la décoration, réalise des décors de paquebots, des fresques, des porcelaines, illustre plusieurs ouvrages d'auteurs connus, expose dans des galeries célèbres et participe aux plus grands salons de peinture. Elle est reconnue par la critique parisienne et les milieux artistiques.
Le dessin a été pour elle un moyen d'expression privilégié. Elle a réalisé plusieurs milliers de dessins, utilisant toutes les techniques possibles, du crayon gras qui donne des formes solides et puissantes, à la plume et au pinceau qui confèrent un style plus fin et alerte. Tous d'une très grande qualité d'expression, ses dessins sont aussi touchants car ils évoquent un passé récent, mais révolu, des métiers qui ont changé, des costumes qui ont disparu.
D'autres oeuvres de Yvonne Jean-Haffen, concernant des lieux proches de La Roche :
un dessin de Pont-Christ et deux dessins de la fontaine de Brezal et un autre de la fontaine de St-Jean à Ploudiry.
1899 - Lionel Heuzé | A. Rachet - 1895 |
Cliquer sur les photos pour les agrandir | |
1844 - Auguste Mayer | Albert Tissandier - 1878 |
L'ossuaire de La Roche par Albert Tissandier (avant 1881, probablement en 1878) édité dans "Le magasin pittoresque" (voir sur Gallica).
Albert-Charles Tissandier, né le 1er octobre 1839 à Anglure, et mort le 5 septembre 1906 à Jurançon, est un architecte, un aéronaute et un voyageur français (cf wikipedia). Quel homme polyvalent cet Albert Tissandier ! De plus, il a aussi dessiné l'oratoire de Plougasnou.
La page de Gallica vaut son pesant d'or = "Ce luxueux pavillon est loin d'éveiller dans l'esprit aucune idée funèbre ; il semble qu'il serait mieux placé au bout d'une des nobles avenues du parc de Versailles ou de celui de Chantilly qu'à côté d'un cimetière de village". Au-delà de l'aspect positif de l'appréciation de l'auteur, le commentaire traduit un esprit encore très "parisien".
A la porte du cimetière Où reposent nos trépassés A côté de la croix de pierre Qui domine le grand calvaire Que nos pères ont élevé Se dresse jauni par les ans Tout recouvert de pariétaires Au bourg de La Roche-Morvan Battu par la pluie et le vent Un lugubre et triste ossuaire |
Au bénitier près de la porte Un squelette brandit son dard "Je vous tue tous" et peu importe Et votre rang et votre escorte Moine ou roi, je vais au hasard, Et dans la nuit épaisse et sombre On croit entendre ce cri Qui semble sortir de l'ombre Dans le voisinage des tombes Un mort se lamente et gémit : |
"Aujourd'hui le trépas m'enlève Mes amis ne m'oubliez pas Car la triste mort qui se lève Viendra bientôt clore vos lèvres Et dès demain vous frappera Homme puisque tu n'es que cendre En cendre tu retourneras Des joies ! il n'en faut point attendre Car hélas ! il faudra te rendre Là-bas d'où l'on ne revient pas |
Si mes os sont dans l'ossuaire Il t'y faudra bientôt rentrer Pendant que tu es sur la terre Ah, dis au moins une prière Pour l'ami qu'on vient d'enterrer" Et dans le clocher solitaire Quand tristement tinte le glas Le Breton met genoux à terre En murmurant une prière Pour les morts qui l'attendent... là-bas. |
Lionel Heuzé, architecte (1878-1970)
Ce poème s'inspire des textes en latin gravés sur les murs :
Memor esto judicii mei : Sic erit et tuum mihi hodie tibi cras = Mémorise mon jugement : Ainsi sera le tien, à moi aujourd'hui, à toi demain.
Memento homo, quia pulvis es = Souviens-toi, homme, que tu n'es que poussière.
Il commente une planche de dessins que l'architecte a réalisés sur l'ossuaire de La Roche (source Musée de Bretagne).
Pour une visite virtuelle et guidée de l'ossuaire,
on lira volontiers, le chapitre que lui a dédié Jean-Yves Cordier.
Chapitre et photos admirables, comme d'habitude,
qui présentent une comparaison avec l'ossuaire de Ploudiry.
Chapelle-reliquaire de saint Yves - fin du XVè siècle. Le reliquaire, en forme de chapelle à deux travées et chevet à trois pans, est porté par quatre lions couchés.
Au milieu du toit à crête, composée de fleurons fondus, identiques à ceux qui surmontent la corniche, s'élève un clocheton de plan octogonal à flèche ajourée. Les fenêtres latérales séparées par des contreforts creux ont un réseau flamboyant fondu et repercé, dont le travail délicat en deux épaisseurs rappelle les orbevoies de la ferronnerie gothique.
Une porte surmontée d'un larmier fondu en accolade, désormais condamnée, s'ouvrait sur l'élévation antérieure.
Le décor d'appareillage sans véritable continuité d'une travée à l'autre, a été gravé en dernier lieu.
Le reliquaire de La Roche-Maurice est dû au talent d'Yves Pleiber, dont on trouve le poinçon sous un pied : lettres Y et P séparées par un point dans un cadre rectangulaire, et un autre poinçon de la communauté de Morlaix.
Caractéristiques : Argent repoussé ; décor ciselé, repercé, fondu, estampé.
H. 29 cm ; L. 23 cm ; Pr. 13,5 cm ; Pds. 1105 g. Classement aux M. H. le 14 juin 1898.
La vente des reliques de saint Yves
Le dimanche précédant celui où l'on fête Saint Yves, patron des avocats et de la paroisse de La Roche, se déroulait il n'y a pas encore si longtemps, un spectacle dont se souviennent les personnes âgées. L'on procédait, à la sortie de la grand-messe, à la vente des reliques de Saint Yves : mais c'était, en fait, le privilège de porter le reliquaire à la procession du pardon, qui s'achetait. Le commissaire-priseur, le bedeau en l'occurence, juché sur le piédestal de la Croix, jetait comme un défi sa mise à prix à la foule massée sur la place de l'église ; et dans la gaîté générale, les enchères montaient. Action profane ? Bien au contraire, c'était considéré comme un moyen peu commun et louable d'offrir un don à l'église. (Ouest-France du 16/5/1973)
Les reliques de Saint Yves au grand pardon de La Roche à l'Ascension
Au pardon, on admire... De nombreuses paysannes endimanchées, portant les chatoyants et riches costumes de Lesneven, Landivisiau, Daoulas, Sizun, etc... entourant de très anciennes bannières aux ors passés et défraîchis, que le vieux et vénérable curé de La Roche , respecté de tous ses paroissiens et qui porte allègrement ses 80 ans, semble contempler d'un oeil tout attendri.
A quelques pas plus loin, c'est un groupe d'hommes, dont quelques privilégiés ont acquis à bons deniers comptant le droit de porter sur leurs robustes épaules les reliques de Saint Yves, patron du bourg.
Après que la procession a effectué à plusieurs reprises le tour de l'église et du cimetière, nous assistons à une bien curieuse coutume, que nous n'avons vue décrite nulle part :
Les deux porteurs des reliques de Saint Yves se placent de chaque côté du portail de l'église et ils élèvent la châsse à hauteur de leur tête ; ensuite le cortège tout entier, clergé en tête, après avoir touché de la main l'un des supports de l'objet vénéré, passe en se courbant sous le pieux trésor.
(La Dépêche de Brest du 30/5/1924)
Vu l'âge du curé (on dit "recteur" à La Roche) et la date de la publication, j'en déduis qu'il s'agit de Barthélémy Dréau, dit "Tonton Lem".
Retable dans l'église de La Roche | Statuette dans une niche sur le mur d'une propriété qui se trouve derrière l'ossuaire de La Roche. | St Yves à la Vallée des Saints de Carnoet |
Saint Yves est généralement représenté avec une bourse dans une main, pour signifier tout l'argent qu'il a donné aux pauvres dans sa vie, et un parchemin dans l'autre, qui rappelle sa charge de juge ecclésiastique. Il est également souvent figuré entre un homme riche et un homme pauvre.
Le retable de saint Yves à La Roche : Le Pauvre a une tête de moins que le Riche. Sans couvre-chef, le "penn-baz" noueux à la main, le genou légèrement fléchi, il ne peut qu’être suppliant. Saint Yves est très attentif à sa supplique et, le regard vers le bas, il semble méditer sur le jugement qu'il va prononcer.
Autres représentations de St-Yves à La Roche
1 - Dans une niche d'une maison du bourg : ancienne2 - Dans la niche centrale et supérieure du clocher
Depuis plusieurs années sa tête a disparu.
Ici, il n'est pas représenté de la manière la plus traditionnelle.
Il n'a pas son parchemin ni sa bourse.
C'est bien saint Yves, cependant, ainsi que nous le confirme Yves-Pascal Castel :"Quant à la statue de la façade de l’église de La Roche-Maurice dont saint Yves est titulaire, les hermines héraldiques du camail lèvent le doute sur une identification devenue problématique à la suite d’une restauration".
Si l’ensemble du costume adopté par les artistes varie selon les époques, le saint homme a souvent été représenté dans des vêtements couverts d'hermines, du fait de sa charge de juge ecclésiastique. Ici, on distingue ces hermines sur le chaperon ou camail, comme sur un tableau de Saint Yves entre le riche et le pauvre, réalisé par Claude Vignon en 1635.
3 - Voir aussi sur une bannière de La Roche, classée au patrimoine. Il est, comme souvent, placé entre le pauvre et le riche.
4 - Autre représentation de saint Yves qui fut à La Roche autrefois, mais qui a été réutilisée
dans la restauration d'un calvaire de Guiclan. Cliquer sur le petit livre vert << ajout le 22/5/2023
Calvaire de Kersaint-Gilly à Guiclan.
Cette croix porte des traces indéchiffrables d'une inscription en lettres gothiques. On y remarque la statue de saint Gilles, et celle de saint Yves, provenant de La Roche-Maurice, et placée ici par Larc'hantec, lors de la restauration de ce calvaire, en 1889 (source P. Peyron et J.M. Abgrall). Photos d'Emmanuelle Le Seac'h sur CD dans Sculpteurs sur pierre en Basse-Bretagne. La statue, nous dit-elle, page 169, est de Bastien Prigent (atelier actif de 1527 à 1577) et représente saint Yves coiffé de son bonnet à cornes.
Il est hors de doute que ce n'est pas comme patron des avocats qu'Yves Hélory de Kermartin est honoré en tant d'églises et de chapelles bretonnes, mais plutôt comme exemple et témoin de la vertu d'équité. Ainsi n'est-il pas seulement un exemple pour les hommes de loi et tous ceux qui sont revêtus d'autorité : ses images sont un avertissement pour le riche, et un réconfort pour le pauvre. Ce n'est certainement pas par hasard que saint Yves figure, entre ses deux justiciables symboliques à La Roche-Maurice - la première paroisse du Léon, semble-t-il qui l'ait pris pour patron - symétriquement à une sorte de variante abrégée de la Danse macabre, sur l'ossuaire, où l'on voit la Mort menacer de son dard un paysan, une femme, un robin, un pape : à la grande Justicière terrible fait pendant le Juge intègre. |
Non pas qu'il faille voir, au reste, dans le culte de saint Yves, cet esprit de revendication et des subversion qu'on a trop souvent voulu voir bien à tort dans divers thèmes de l'iconographie médiévale. Mais lorsqu'un gentilhomme de jadis, assis dans son beau banc privilégié, considérait ces statues, il apprenait que la pièce d'or ne force pas toutes les consciences, et qu'un autre verdict a été prononcé : "Il est plus facile à un chameau...". Et le pauvre, lui se souvenait des paroles qui ont été dites pour les humbles et les persécutés. Quand bien même il ne rencontrerait pas de saint Yves pour lui faire droit ici-bas, il savait qu'il y aura toujours pour lui une justice qu'il pourra forcer, armé seulement de sa bonne foi, de sa misère et de sa prière. Ainsi se traduit en langage breton et paysan le message fondamental de la pensée chrétienne. Source La sculpture bretonne par Victor-Henry Debidour - Plihon, Rennes, 1953 |
Photo n° | | |
Avance manuelle |
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Autres oeuvres ayant pour
sujet La Roche-Maurice :
- la rivière (1 à 15)
- l'église (16 à 38)
- le train (39)
- le château (40 à 81)
- un cavalier, Lez Breizh ? (82)
- la légende de Roc'h Morvan
(83 à 89)
- la même légende selon
Anastasiya Taras (90)
- le logo de l'AAPPMA (91)
- le château du Pontois (92)
- le moulin de Kermadec (93)
- le moulin de Kerigeant (94)
- la place du château (95)
- le bourg de La Roche (96)
- l'Elorn, le château (97)
- vues de La Roche (98 à 102)
Ajouts récents :
- 3 autres dessins des ruines du Roc'h par Fréminville
. n° 103 et n° 104
. n° 105 voir aussi
- L'église et le château n° 106
- L'église par Jules Noël
- Les moulins de Ligoulven
- La Roche en 1917 par
Ricardo Florez New
R. |
Il est un coin d'Armorique, Où il est bon de se balader Un endroit magnifique Qui ne peut qu'enchanter Un endroit magnifique Qui ne peut qu'enchanter |
En plein coeur du Léon, L'Elorn fait des bonds, Sous l'oeil adoubant Du Kastell Roc'h de Morvan Le Kastell Roc'h de Morvan Et son oeil adoubant |
Et à La Roche-Maurice Saint-Yves et son église, La chapelle de Pont-Christ Et le chant des choristes Le chant des choristes La chapelle de Pont-Christ |
Le folklore du Finistère Cher à André et Jennifer Le grand bois d'Plouneventer Terre de tous les mystères Terre de tous les mystères Le grand bois d'Plouneventer |
Il faut chercher le pont du diable Et sa légende indissociable Nous allons démystifier Le donjon et son rocher Le donjon et son rocher Nous allons l' démystifier |
André J. Croguennec - Page créée le 16/2/2019, mise à jour le 13/10/2024. | |